Pas grand chose à dire de plus. Triste réalité de notre quotidien exprimé de façon très simple... Ecoute t-ils GCM au ministère, lisent-ils le blog de Jack ??? mystère ....
un morceau de réalité cette chanson.En même temps, on sait bien que les causes, conséquences et solutions ne sont pas aussi simples que l'artiste le décrit ...
çà a le mérite d'être clair! peut-être faudrait-il l'envoyer à X... D...? çà lui ouvrirait les yeux sur notre triste réalité !! en tout cas, merci de diffuser aussi ces choses là .
@laurence 49: c'est vrai que les commentaires en dessous du clip sont terribles, dans tous les sens du terme !! Pour la chanson, c'est vrai mais pas tout à fait. Il y a aussi des écoles de campagne qui n'ont pas plus de moyens (on n'a des cerceaux mais pas de tapis...). Je pense qu'il faut arréter de faire une différenciation ville/ banlieue, le problème est bien plus vaste. Les écoles sont financées par les mairies donc 36000communes=36000budgets différents=36000écoles différentes. Il y a un paquet de travail pour repenser tout ça!! Mais ce chanteur reste magnifique!
comme je l'ai dit à Jack: je suis dans le 15ème à Paris et j'ai tout pareil que dans le texte: pas de salle info, le préau-qui-sert-à-tout, 28 à30 élèves par classe,bcp d'enfants en difficulté et pas de credit car pas en zep bien sûr!...alors oui d'accord pour ne pas opposer ville/banlieu, mais oui aussi à cette chanson qui ne nous met pas tous les échecs sur le dos!
Oui Edwige, je comprends tout à fait. Ce que tu vis dans ton école est vécu partout. Et je le redis, on ne peut pas demander à l'école de tout résoudre, et on n'a pas le droit de pointer du doigt les enseignants qui font tout ce qu'ils peuvent pour aider leurs élèves, avec les moyens qu'ils ont.
J'aime beaucoup les textes de grand corps malade. Très émouvants, et bien faits vraiment.
Je suis d'accord avec ce qui a été dit avant, il n'y a pas que les banlieues qui n'ont pas de moyens pour les écoles. Mais pour une fois qu'on ne casse pas de l'enseignant et que quelqu'un ose dire qu'on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, je pense qu'il faut féliciter, pas critiquer.
Comme d'habitude, GCM trouve les mots justes (écouter "Le blues de l'instituteur" et autres)... Tout simplement magnifique !
Je m'incruste sur ce sympathique blog d'initiés, tous membres de l'EN ^^ Mais je me permets de ramener ma "fraizeuh" pour témoigner en tant que, je l'espère, future instit' (pardon, professeur des écoles). J'ai quitté l'école il n'y a pas si longtemps que cela et je suis aujourd'hui en train de préparer une licence histoire parcours pluridisciplinaire. Vu la situation actuelle et les changements qui se préparent, autant dire que les obstacles seront nombreux...
tout est dit
RépondreSupprimerrien à ajouter
en espérant que ce soit diffusé ,vu et surtout entendu ...
merci
Génial, enfin un artiste connu du grand public qui ose s'exprimer intelligemment.
RépondreSupprimerLisez les commentaires sous le clip, hallucinant )-:
Ah ben donc j'étais pas à côté de la plaque....
RépondreSupprimerMais ne nous réjouissons pas trop vite : beaucoup vont trouver que c'est démago ...
Pas grand chose à dire de plus. Triste réalité de notre quotidien exprimé de façon très simple... Ecoute t-ils GCM au ministère, lisent-ils le blog de Jack ??? mystère ....
RépondreSupprimerun morceau de réalité cette chanson.En même temps, on sait bien que les causes, conséquences et solutions ne sont pas aussi simples que l'artiste le décrit ...
RépondreSupprimerçà a le mérite d'être clair!
RépondreSupprimerpeut-être faudrait-il l'envoyer à X... D...? çà lui ouvrirait les yeux sur notre triste réalité !!
en tout cas, merci de diffuser aussi ces choses là .
pour une fois qu'on ne casse pas du prof, c'est bien agréable...
RépondreSupprimer@laurence 49: c'est vrai que les commentaires en dessous du clip sont terribles, dans tous les sens du terme !!
RépondreSupprimerPour la chanson, c'est vrai mais pas tout à fait. Il y a aussi des écoles de campagne qui n'ont pas plus de moyens (on n'a des cerceaux mais pas de tapis...). Je pense qu'il faut arréter de faire une différenciation ville/ banlieue, le problème est bien plus vaste. Les écoles sont financées par les mairies donc 36000communes=36000budgets différents=36000écoles différentes. Il y a un paquet de travail pour repenser tout ça!! Mais ce chanteur reste magnifique!
Je viens d'écouter, j'en ai des frissons......
RépondreSupprimerc'est vrai Sandie
RépondreSupprimerY'a du vrai !
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Sandie. Il faut arrêter l'amalgame "banlieue/pas de budget/échec"
RépondreSupprimerLe clip est sympa mais bourré de clichés. Mais j'adore grand corps malade.
La société entière va mal. Les enfants en difficulté se trouvent dans tous les milieux, et partout".
C'est vrai que dans certaines zones, les enfants cumulent difficultés sociales, familiales et donc scolaires....
L'enseignement, à deux vitesses ou pas ne peut malheureusement pas tout résoudre...
L. qui en saigne
http://www.youtube.com/watch?v=9MK2Dl6-jeY
RépondreSupprimeranonyme précédent merci !!
RépondreSupprimertrès très beau.
Dans nôtre histoire,
RépondreSupprimerrien n'est écrit
mais tout sonne
comme une évidence.
Une évidence...
C'est beau oui, mais on s'égare ...
RépondreSupprimerça fait comme une histoire dans l'histoire ... un bug dans le blog...
Un joli bug tout de même Coline !
RépondreSupprimercomme je l'ai dit à Jack: je suis dans le 15ème à Paris et j'ai tout pareil que dans le texte: pas de salle info, le préau-qui-sert-à-tout, 28 à30 élèves par classe,bcp d'enfants en difficulté et pas de credit car pas en zep bien sûr!...alors oui d'accord pour ne pas opposer ville/banlieu, mais oui aussi à cette chanson qui ne nous met pas tous les échecs sur le dos!
RépondreSupprimerOui Edwige, je comprends tout à fait. Ce que tu vis dans ton école est vécu partout. Et je le redis, on ne peut pas demander à l'école de tout résoudre, et on n'a pas le droit de pointer du doigt les enseignants qui font tout ce qu'ils peuvent pour aider leurs élèves, avec les moyens qu'ils ont.
RépondreSupprimerL. qui en saigne
je l'aime c't'homme-là ...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les textes de grand corps malade.
RépondreSupprimerTrès émouvants, et bien faits vraiment.
Je suis d'accord avec ce qui a été dit avant, il n'y a pas que les banlieues qui n'ont pas de moyens pour les écoles.
Mais pour une fois qu'on ne casse pas de l'enseignant et que quelqu'un ose dire qu'on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, je pense qu'il faut féliciter, pas critiquer.
d'accord nous ne vivons pas tous dans le même cadre
RépondreSupprimermais tous, enseignants, nous avons les mêmes conditions et les mêmes besoin de vie...
et un clip, une chanson pour une fois en témoigne ...
...MERCI GdCMalade!!
...MERCI DANGER ECOLE!
ce clip ne fait pas tache dans ce blog!!
qu'on se le dise
une autre sandrine
je peux dire avec fierté que le jeune garçon qui a écrit certaines paroles de cette chanson se trouve dans l'école d'un ami...
RépondreSupprimer^^
petit moment de fierté...
Comme d'habitude, GCM trouve les mots justes (écouter "Le blues de l'instituteur" et autres)... Tout simplement magnifique !
RépondreSupprimerJe m'incruste sur ce sympathique blog d'initiés, tous membres de l'EN ^^ Mais je me permets de ramener ma "fraizeuh" pour témoigner en tant que, je l'espère, future instit' (pardon, professeur des écoles). J'ai quitté l'école il n'y a pas si longtemps que cela et je suis aujourd'hui en train de préparer une licence histoire parcours pluridisciplinaire. Vu la situation actuelle et les changements qui se préparent, autant dire que les obstacles seront nombreux...