En vrai, c'est plutot : - Untelle collègue est malade, il faut appeler l'IEN, (qui n'aura pas de remplacant à nous mettre), - il faut faire l'affiche pour dire que Untelle est malade, qu'elle ne sera pas remplacée, et que les parents peuvent appeler l'IA au n° suivant, - tel gamin est malade, il faut prévenir la maitresse, - il faut que tu appelles la mairie, l'ATSEM Y est absente...
et après, à 9h00, elle a sa classe de monstres qui arrive si c'est un jour sans décharge! enfin, quand on voit ce que touche un directeur, avec la masse de taf et de responsabilité qui leur tombe dessus comme la misère sur le bengladesh, on ne s'étonne pas qu'ils rament pour en trouver... yann
Tout à fait cela, et "mon" école avait 15 classes... On pourrait ajouter : "t'as fait le café?", ou comme je l'ai vécu le jour de la rentrée 2007: " On travaille le lundi de Pentecôte?" Bien vu, Jack
Nous, la directrice se noie dans un verre d'eau et passe son temps à brasser de l'air... Alors on lui demande rien et on se débrouille comme des grands!!
Ben chez nous c'est version directeur, mais c'est un peu la même chose... pourtant on fait beaucoup de choses tout seuls, quand même. On essaie de l'épargner, de le protéger, pour qu'il dure longtemps, on a besoin de luiiiii !
C'est un peu comme ça aussi chez moi enfin chez moi à l'école je veux dire. Dis Jack t'aurais pas la même version en directeur ?? hein dis oui jack s'il te plait...
Yann, je ne connaissais pas l'expression "comme la misère sur le Bengladesh" :) J'essaierai de la replacer (en ce moment, les trucs pas sympas qui nous tombent dessus sont si courant que ça ne devrait pas être difficile ;) >Benoît<
Je suis bien d'accord avec toi, y âne, et je peux te dire que privé/public, c'est la même misère!! Nous aussi, on a pénurie de directeurs, alors "ils" prennent souvent des gens qui arrivent d'un autre diocèse (les pôvres, c'est la condition pour avoir un poste!)... ou n'importe qui! Des kamikazes, on en trouvent plus beaucoup... Et c'est vrai que si on en a un(e) de bien, il fait le(la) soigner!!
Jack, tu as omis l'autre moitié du boulot... les parents! Ils en ont au moins autant à demander! les certif de scolarité, aujourd'hui il reste à la garderie, où est passé son manteau, vérifiez bien si sa pompe à insuline ne se bouche pas (vécu pour de bon, je le jure!),etc... Avec les collègues, on essaie de ménager notre directrice, parce que si elle nous lâche, personne ne veut de sa place! Sylvie
17 commentaires:
ben oui c'est pour ça que j'arrivais à 7h 15 ...
Super autonomes les collègues de cette directrice...
En tout cas, les miennes de collègues sont comme ça ...
J'ai meme eu droit, par mon ATSEM : "les WC sont sales" (sous-entendu : les parents d'élèves restés pour les élections ont souillé les WC)... Grrrr!
En vrai, c'est plutot :
- Untelle collègue est malade, il faut appeler l'IEN, (qui n'aura pas de remplacant à nous mettre),
- il faut faire l'affiche pour dire que Untelle est malade, qu'elle ne sera pas remplacée, et que les parents peuvent appeler l'IA au n° suivant,
- tel gamin est malade, il faut prévenir la maitresse,
- il faut que tu appelles la mairie, l'ATSEM Y est absente...
8h20 : je suis déjà lessivée!
Mymm
moi je n'ai pas ce genre de probleme... il est vrai que je suis tout seul :)
>Benoît<
et après, à 9h00, elle a sa classe de monstres qui arrive si c'est un jour sans décharge!
enfin, quand on voit ce que touche un directeur, avec la masse de taf et de responsabilité qui leur tombe dessus comme la misère sur le bengladesh, on ne s'étonne pas qu'ils rament pour en trouver...
yann
Tout à fait cela, et "mon" école avait 15 classes... On pourrait ajouter : "t'as fait le café?", ou comme je l'ai vécu le jour de la rentrée 2007: " On travaille le lundi de Pentecôte?"
Bien vu, Jack
Nous, la directrice se noie dans un verre d'eau et passe son temps à brasser de l'air... Alors on lui demande rien et on se débrouille comme des grands!!
Ben chez nous c'est version directeur, mais c'est un peu la même chose... pourtant on fait beaucoup de choses tout seuls, quand même.
On essaie de l'épargner, de le protéger, pour qu'il dure longtemps, on a besoin de luiiiii !
C'est un peu comme ça aussi chez moi enfin chez moi à l'école je veux dire. Dis Jack t'aurais pas la même version en directeur ?? hein dis oui jack s'il te plait...
Yann, je ne connaissais pas l'expression "comme la misère sur le Bengladesh" :)
J'essaierai de la replacer (en ce moment, les trucs pas sympas qui nous tombent dessus sont si courant que ça ne devrait pas être difficile ;)
>Benoît<
ma grand-mère disait "comme la vérole sur le bas clergé breton".
elle fait son petit effet aussi;-)
em des zardennes
un nouveau "défi" proverbes -pour -conjurer- la -morosité ambiante?
connaissais pas celui de ta GM,
em, il vaut son pesant de cacaouettes!!!!
Je suis bien d'accord avec toi, y âne, et je peux te dire que privé/public, c'est la même misère!! Nous aussi, on a pénurie de directeurs, alors "ils" prennent souvent des gens qui arrivent d'un autre diocèse (les pôvres, c'est la condition pour avoir un poste!)... ou n'importe qui! Des kamikazes, on en trouvent plus beaucoup...
Et c'est vrai que si on en a un(e) de bien, il fait le(la) soigner!!
on en TROUVEEEEEEE
tiens, plus de petite "poubelle" pour annuler son comm' erroné après parution!!??
Jack, tu as omis l'autre moitié du boulot... les parents! Ils en ont au moins autant à demander! les certif de scolarité, aujourd'hui il reste à la garderie, où est passé son manteau, vérifiez bien si sa pompe à insuline ne se bouche pas (vécu pour de bon, je le jure!),etc... Avec les collègues, on essaie de ménager notre directrice, parce que si elle nous lâche, personne ne veut de sa place!
Sylvie
Enregistrer un commentaire